La place de la médecine douce dans le monde des assurances
Les médecines dites « non-conventionnelle » visant à prévenir ou guérir les problèmes de santé physique ou mentale ne sont, dans la plupart des cas, jamais couverts par la Sécurité Sociale.
Cependant, de plus en plus de compagnies d’assurances commencent à proposer des contrats incluant le remboursement de prestations en médecine douce.
Un nouveau marché pour les mutuelles
Les médecines douces ont du succès, soit par conviction soit pour trouver une alternative aux traitements médicaux traditionnels : de plus en plus de personnes explorent ce type de médecine.
Conscient qu’un nouveau marché est en train d’émerger, un nombre grandissant de mutuelles proposent des contrats sur lesquelles il est possible d’obtenir le remboursement de prestations en médecine douce. Leur niveau de prise en charge dépend en général de la compagnie d’assurance mais aussi de critères propres à chacun.
Les compagnies d’assurance ont bien compris que ces consultations pouvaient vite représenter un budget pour leurs clients. En cumulant le prix de la consultation généralement accompagnées de plusieurs autres séances, le coût de ces pratiques peut vite se montrer onéreux.
En général, le montant du remboursement pour une séance est d’une trentaine d’euros, le nombre de séances et limité par un forfait annuel à ne pas dépasser.
En fonction de la nature, de la durée ou encore des tests effectués, une séance de naturopathie coûte 75 € en moyenne.
Si vous souhaitez bénéficier des meilleurs remboursements, il est important de comparer le plus de mutuelles possibles sur leur efficacité à rembourser la naturopathie. Il peut être aussi bien de vérifier si ces dernières peuvent couvrir d’autres types de médecine alternative, certains thérapeutes peuvent avoir recours à d’autres types de médecine préventive.
Un courtier en assurance peut vous proposer des devis et vous aider à évaluer vos besoins gratuitement.
Chez le professionnel, qui couvre quoi ?
Il est possible que ce métier expose à des réclamations de la part de des patients. Certaines de ces réclamations peuvent entraîner des conséquences pas toujours positives sur l’activité. En tant que professionnel, il est primordial d’être bien couvert :
La Responsabilité Civile Professionnelle (RC Pro) est indispensable en cas de faute, d’erreur ou d’oubli de la part d’un praticien.