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La chlorella : contre les métaux et le mercure


Petite algue, grands effets. La chlorella / chorelle vous aide à éliminer les métaux lourds que votre corps capte dans votre alimentation.

Parmi les toxiques et neurotoxiques, les métaux sont en bonne position. Et parmi ces métaux, le mercure a largement sa place sur le podium. Utilisé dans les préparations dentaires (amalgames pour faire les plombages), présent dans certains poissons gras des mers polluées, il est un véritable poison pour l'organisme. La Chlorella est une des armes de la phytothérapie pour lutter contre cet empoisonnement.


De très nombreux rapports montrent sa dangerosité (parfois montrée sur des études datant de plusieurs siècles). Pire, malgré ces informations, nos morts actuels présentent 500 à 1000 fois plus de mercure dans le corps que des cadavres datant de 400-500 ans. Autant dire que les industriels et pharmaciens ne tiennent absolument pas compte des connaissances acquises. Il convient donc que chacun d'entre nous prenne ses responsabilités et travaille à se détoxifier comme il se doit de ce poison mortel. Son accumulation augmente mécaniquement au fur et à mesure de l’élévation dans la chaîne alimentaire. Bien qu’imparfaite, l’élimination du mercure dans l’organisme est possible grâce à la phytothérapie et notamment la chlorella.

C'est quoi le mercure ?

De nombreuses maladies (infections virales, cancers, dérèglements de la glande thyroïde, sclérose en plaque, mycoses…) ont pour origine ou facteur aggravant les métaux lourds avec mention spéciale pour le mercure. Ces métaux lourds sont maintenant partout (alimentation, pollution ambiante, eau…). Le mercure est un toxique, à n’importe quelle concentration et peut causer une très grande variété de perturbations psychologiques, comme des problèmes nerveux ou musculaires, des changements d'humeur, des problèmes avec les organes ou les systèmes, et des problèmes physiques généraux comme fatigue, faiblesse et pâleur. Les 2 principales sources de mercure sont : 1) les plombages 2) la mère

Plombages et mercure :

Dans les recommandations de l’ordre national des chirurgiens-dentistes (Bulletin 1999), une personne ayant un amalgame (plombage) absorberait chaque jour 5µg de mercure chaque jour (à cause de la mastication). La dose est faible, mais comme on n’évacue pas automatiquement le mercure, l’accumulation est forte (et le cerveau pourra en capter la moitié grâce aux veines du maxillaire supérieur).

Transfert mère à enfant :

le corps de la mère utilisera le fœtus pour se débarrasser de ses propres métaux lourds durant la grossesse, mais également après au travers le lait maternel engendrant un système immunitaire déficient et des complications potentielles (croissance diminuée notamment). Le corps de la mère utilise le fœtus comme "poubelle" pour se débarrasser de ses propres métaux lourds. Des quantités importantes de mercure passent du corps de la mère au fœtus. On trouve aussi beaucoup de mercure dans le lait maternel. Cet empoisonnement du jeune enfant a pour conséquence une croissance diminuée, un plus petit cerveau, un système immunitaire et un poids corporel réduits.

Et les autres sources ?

Ne parlons pas de l’absorption par la respiration, nous y sommes tous contraints (l’incinération des ordures ménagères rejette notamment du mercure dans l’atmosphère, de même que la combustion du charbon, les cimenteries et les aciéries). Au final, la présence moyenne de ce mercure dans l’atmosphère dure 11 jours et on le retrouve dans pratiquement toutes les pluies. En fait, tout le problème vient de la médecine moderne qui ne fait que combattre des symptômes et non prendre en charge les causes (élimination des déchets). Certaines études montrent que les organismes peuvent contenir jusque 70 produits chimiques ''poubelles''. Or, on sait que le mercure a une grande influence sur ces derniers puisque lorsque le mercure est évacué du corps, les autres toxines l’accompagnent. A l’inverse, si le mercure est présent, il faudra combattre chaque toxine une par une. Le choix est vite fait.

Comment agit le mercure ?

Le mercure va principalement produire ses méfaits au niveau des peroxyzomes. Il s’agit de « sacs » au sein de toutes les cellules qui permettent d’absorber l’hydrogène. En y ajoutant de l’oxygène, il y aura formation de peroxyde d’hydrogène. Cette substance est dangereuse, d’où l’isolement de cette dernière dans les peroxyzomes.


C’est aussi l’endroit où certains acides gras à chaînes longues sont brûlés pour les détruire. Lorsque le mercure s’accumule dans la cellule, ces chaînes longues ne peuvent plus être détruites. Au contraire, elles s'allongent de plus en plus et s'agglutinent à l'intérieur du peroxyzome. Ce dernier n’ayant plus de place, il ne pourra recueillir le peroxyde d’hydrogène qui intoxiquera la cellule. Au niveau du cerveau, un autre phénomène intervient également. Ce dernier possède des microtubules qui servent aux échanges internes dans le cerveau. Lorsque le mercure atteint le cerveau, il détruit l’enzyme qui fabrique ces microtubules (la GTP). Les échanges s’arrêtent, le cerveau est bloqué. Enfin, le mercure détruit aussi les protéines en se fixant sur elles.

Le mercure dans les poissons

Le mercure en tant que tel, s’accumule au sein de 2 organes : le foie et les reins. Par contre, on ne le rencontre pas uniquement sous cette forme spécifique dans la nature (alimentation). En effet, les organismes tels que les bactéries transforment (absorbent) le mercure pour le stocker sous forme modifiée (méthylmercure). Elle n’est pas entièrement éliminée. Ainsi, lorsque ces bactéries sont consommées par des animaux, ces derniers absorbent ce méthylmercure. Et au final, plus on monte dans la chaîne alimentaire, plus l’accumulation se produit pour être présent à des doses très importantes chez les plus gros poissons (requins, thon, maquereaux, espadon…). Jusque récemment, on pensait qu’il suffisait de ne pas consommer les foies et reins (merci les huiles de foie de poisson) pour se prémunir de ce toxique. On sait maintenant que la forme méthylmercure ne s’accumule pas dans ces organes (seul le mercure simple le fait), mais dans l’ensemble de l’organisme des gros poissons. Et comme le méthylmercure est un neurotoxique … Ainsi, pour l’aspect mercure, il vaut mieux éviter de consommer les grands poissons notamment provenant des mers reconnues pour leurs pollutions (mers du nord, mais également l’atlantique du côté de l’Amérique du sud à cause des activités d’orpaillage (produisant énormément de mercure souvent directement jeté dans les fleuves et arrivant ainsi à l’océan). Les petits poissons présenteront moins de risques. Il faut toutefois noter qu’apparemment (Source FDA), la consommation de ces poissons (notamment grâce aux Omégas 3) présentent plus de bienfaits que les risques corrélés au mercure potentiel. A voir…

La Chlorella, ou comment éliminer le mercure ?

Les neurotoxines sont en permanence filtrées par le foie et naviguent grâce à la bile vers l’intestin. Malheureusement elles n’y seront pas obligatoirement évacuées et au final elles sont reprises par le foie qui les renverra vers l’intestin et ainsi de suite, générant des maladies chroniques. L’objectif est donc de casser ce cycle. Et pas uniquement de ponctuellement (régime Détox), mais de manière permanente puisqu’il est impossible d’éviter complètement les sources de pollutions au mercure. Par exemple, les personnes qui ont enlevé leurs amalgames dentaires exhalent encore des vapeurs de mercure de très nombreuses années après. Une algue peut parfaitement remplir ce rôle : la Chlorella. La réelle efficacité de la chlorella à plusieurs fois était démontrée lorsque l’on observe la chute des taux de mercure circulant conjointe avec une prise quotidienne de cette algue. Le mercure s’échappera par la peau, la respiration, les selles et les urines.

Comment agit la chlorella ?

Une désintoxication aux métaux lourds se fait par chélation. C’est-à-dire que l’on apporte une substance (ici la chorelle) qui aura pour fonction d’attirer le métal, de le fixer puis de l’évacuer. L’action se déroulera en 2 temps : - D’abord l’algue va s’occuper du mercure dans l’organisme ; - Lorsque les taux seront faibles, elle cherchera d’autres cellules à nettoyer et notamment celles du cerveau ; C’est lors de cette seconde étape que les autres substances toxiques seront évacuées en grand nombre : la barrière de mercure n’existant plus ou presque plus, il pourra y avoir d’autres chélation (d’autres métaux lourds).


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